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L’état de yoga

L’état de yoga

Bonjour à tous, un tout petit article pour démarrer ce blog que j’essaierai d’alimenter au fur et à mesure avec mes articles publiés à droite et à gauche sur les réseaux sociaux.

Le yoga, bien plus que des exercices, c’est aussi un état d’esprit. –> Etat du corps et état d’esprit doivent être en harmonie. 🙂 L’état de yoga est le but à atteindre, et le yoga est le moyen pour l’atteindre. Le yoga est un tout. C’est pour cela qu’on parle d’une philosophie.
Il y a beaucoup de lectures qui essaient de décrire l’état de yoga, certains passent par la philosophie occidentale, certains s’aident des techniques de psychanalyse et d’autres empruntent les chemins un peu plus ésotériques. Personnellement, je pense que l’état de yoga est l’état de clairvoyance qu’on atteint quand on atteint notre soi profond. C’est l’essence de votre être qui vous relie à l’univers. C’est un long chemin pour y arriver, mais nous avons les moyens, et le yoga en fait partie. 🙂

Namaste!

Crédit photo: Fabrice Bouvart

Qui peut faire du yoga?

Extrait d’une conversation que j’ai eu pendant un événement social:
« Que fais tu dans la vie? » – « J’enseigne le yoga. »
« Oh, c’est vrai? » – « Oui. »
« Je n’aurais pas dit… » – « Ha bon? Pourquoi? »
« Tu n’as pas le physique des profs de yoga! »
« C’est quoi le physique d’un prof de yoga? »
« Ha, généralement, ils sont grands et minces » –> FAKE NEWS!!!

Ne vous inquiétez pas, cette conversation s’est très bien terminée ( 😃 ) et la personne a appris qu’on peut enseigner et faire du yoga avec un physique pas grand et mince.

C’est peut-être l’influence des communications publicitaires, mais dans l’imaginaire collectif, cette image de yogi grand et mince semble avoir la peau dure et dans pas mal de cas, elle peut être un frein pour certaines personnes d’oser franchir le pas et découvrir cette merveilleuse discipline.
Combien de fois n’ai-je pas entendu ce genre de réflexion quand il s’agit de commencer le yoga? « Ah, je pense être trop gros pour ça. » ou encore « mais je suis loin d’être aussi mince pour faire du yoga. » Cette fixation corporelle est malheureuse.

Donc, une bonne fois pour toute, pour dé-bunker cette idée reçue, non! Le yoga n’est pas praticable uniquement par des personnes grandes et minces (si vous l’êtes, c’est très bien aussi hein. Il n’y a aucun problème. 😉 ) mais bel et bien adapté à tout le monde, à toute forme de physique différente: petit, grand, mince, enveloppé, trapu, musclé, pas musclé, avec un handicape ou pas d’handicape.

Il est vrai que la question du corps dans le yoga est importante, mais c’est uniquement parce que le corps est un outil du yogi! Le yoga passe par le corps pour permettre à la personne d’accéder à son intériorité, à sa personnalité, à son espace d’équilibre et il est adaptable à chaque morphologie.
Les notions d’ahimsa et de svadhyaya sont là pour rappeler aux pratiquants comme aux enseignants de respecter le corps et les spécificités de chacun.
Comme nous sommes tous différents, chacun a une morphologie et les spécificités corporelles très différentes, le yoga encourage chaque personne à s’observer à travers ses exercices corporelles afin de mieux se connaitre; mieux connaitre ses propres sensations, les fonctionnements spécifiques de son corps afin de mieux adapter les postures à soi, adapter sa pratique et par la même occasion, mieux réagir et agir dans la vie de tous les jours – C’est svadhyaya. La notion d’ahimsa n’est jamais loin puisqu’elle incite le pratiquant à travailler dans le respect de ses limites corporelles. On peut élargir ses frontières, mais avec douceur et patience.

Alors oui, il est peut-être plus aisé de pratiquer les asanas quand on est grand et mince, mais ils sont tout aussi aisés pour une personne avec un différent type de physique. Il suffit juste de travailler avec ses propres capacités, en accord avec son corps. Et enfin, avec persévérance, nous pouvons aller même plus loin et découvrir des capacités corporelles dont nous ne soupçonnons pas, et transformer même notre corps, sans que cela ne s’en aperçoit immédiatement. 😉

Alors, n’hésitez plus! Votre corps n’est pas une barrière, mais bien un outil très fidèle, à votre service qu’il convient d’entretenir, d’en prendre soin et d’entraîner. 🙂

Belle journée à tous, mes pipistrelles.

Namaste.🙏🙏🤘🤘

Le yoga et la souplesse

La souplesse est un travail sur le long terme.

« Je ne suis pas assez souple pour faire du yoga. » –> FAKE NEWS!!!

Hello mes pipistrelles,

J’espère que vous allez bien par ce beau temps (peut-être même un peu chaud. Pensez à vous hydrater. 😉 ).

Comme j’ai un peu de temps aujourd’hui, je souhaite vous parler de ce mythe très utilisé par les personnes cherchant des prétextes pour ne pas faire du yoga. 😃 (Oui, je sais, je suis un peu salaud)

Alors, qu’est-ce que la souplesse?

La souplesse est la capacité d’une personne à accomplir des mouvements corporels avec la plus grande amplitude articulaire et musculaire possible, que ce soit en mouvement ou de manière passive (cf. photo). La souplesse passive avec ma plus grande amplitude articulaire et musculaire possible du moment, je m’entraîne en m’aidant du poids de mon corps et je ne bouge pas, je laisse travailler mes muscles et je m’aide de la respiration. 😉

Mais! Parce qu’il y a un mais! Ce que vous voyez dans la photo s’agit de la souplesse spécifique, qui implique une recherche de performance et énormément de pratique, parce que je pratique beaucoup de sport depuis long temps et parce que je m’entraîne avec mes objectifs qui évoluent au fil des années.
En revanche, la souplesse, en général, consiste à mobiliser les systèmes musculaires et articulaires pour faire en sorte d’apporter une certaine aisance gestuelle, sans pour autant atteindre les niveaux extrêmes en amplitude. Et c’est de cela qu’on parle. Le yoga permet d’entretenir cette souplesse là pour vous garantir une aisance de mobilité dans tous les mouvements de votre vie quotidienne. Le reste, c’est de l’entrainement en plus si affinité. 😉

Comment ça marche?

Les mouvements d’étirement, bien-sûr! 😉 Le yoga permet de travailler ces étirements grâce à ses exercices posturales; mais le petit (grand) plus qu’offre le yoga, c’est de faire ces exercices de manière lente, tout en conscience, au rythme de la respiration.
Pourquoi? –> Travailler lentement permet de faire les choses progressivement, sans brusquer le muscle qui risque de se contracter (réflexe myotatique). Cela permet également d’apercevoir plus facilement, en douceur, votre limite supportable pour ne pas aller au delà et vous blesser.
La respiration dans l’étirement agit sur le tonus musculaire, cela permet de mieux détendre ses muscles tout simplement.

De plus, le mot d’ordre dans la pratique du yoga, c’est de pratiquer avec les limites de son propre corps (concept d’ahimsa), et il est rappelé continuellement tout au long de la séance afin d’avoir une progression tout en douceur, sans se faire mal.

Et comme dans toutes les disciplines, le résultat vient avec de la pratique. Si vous n’êtes pas souple, pratiquer le yoga va améliorer votre souplesse avec la méthode que je viens juste de vous expliquer. 😉 Et même que ça peut vous rendre extrêmement souple si tel est votre objectif et si vous pratiquez avec régularité et persévérance (tapas)!

Voilà, vous savez tout. On n’a pas besoin d’être souple pour faire du yoga.
A la prochaine avec une autre publication pour déglinguer les fake news. 😉

Belle journée et beau weekend à tous.

Namaste! 🙏🙏🤘🤘 

Le yoga et la musique Metal

Metal Yoga!

Hello mes pipistrelles,

Suite au lancement de mes séances de metal yoga, je me souviens de quelques discussions que j’ai souvent eu, on manifeste souvent de l’étonnement ou de l’incompréhension quand j’explique que je pratique le métal yoga (en gros, faire du yoga et l’adapter sur de la musique métal) et que je souhaite animer de plus en plus de séances de métal yoga, que ce soit de la part des pratiquants de yoga, des non pratiquants et même des metalleux.
Cet incompréhension s’exprime souvent avec les questions telles que: « mais comment tu peux faire une pratique relaxante avec une musique aussi bruyante? » (bruyant vous mêmes, na!) ou encore « comment tu peux associer une pratique lumineuse avec une musique aussi sombre? », ou du côté des metalleux « mais on ne peut pas rester tranquille sans bouger avec la musique, comment on fait du yoga? » et « ha non, c’est une pratique trop calme pour ça. »

Alors commençons par le commencement. ( 😃 ) Qu’est ce que c’est que cette opposition? La notion même de dualité est réfutée dans la philosophie yoguique. Dès le départ, la non dualité est posée: « Tat tvam asi » – « Tu es cela » (Chandogya Upanishad) tout simplement, et rien d’autre. L’Homme ne fait qu’un avec le tout, il n’y a rien à séparer. Le point de départ est le fait que tout est Conscience, il s’agit de le reconnaître au fur et à mesure de l’apprentissage du yoga, ou sur tout chemin spirituel oriental (notamment l’hindouisme, le bouddhisme ou encore le taoïsme). Pour l’exprimer de manière plus simple, je me permets d’emprunter les mots de François Lorin de l’institut français du Yoga: « « Je » n’est pas ce qui « m’arrive », mais cet espace conscient sans mots et sans mémoires dans lequel tout arrive. »
De plus, la lumière ne peut refléter sans l’obscurité. Sans obscurité, la lumière ne s’exprime pas. Ils vont ensemble! Il n’y a aucun sens de les séparer.

Parlons maintenant de la musique et du jugement. Dire que le métal n’est que bruit et obscurité, c’est un jugement/préjugé terrible! La société a peut-être véhiculé des images négatives de ce courant de musique, mais est-ce juste?
La musique et le son sont liés à la pratique du yoga. Le yoga du son, la purification par le son se pratiquent depuis très long temps dans le yoga. La notion de vibration est liée à cette pratique. Mais pas que!
Habituellement, je ne suis pas facilement touchée par les séances de yoga du son, simplement parce que les sons utilisés ne me touchent pas; ou aussi, dans certains cas, parce que le pratiquant est totalement concentré sur l’aspect vibratoire et oublie totalement la musicalité et l’harmonie, qui sont nécessaires pour ouvrir et toucher les gens! La vibration seule ne fonctionne pas! La vibration des marteaux piqueurs ne réveille certainement pas la kundalini!

Chacun d’entre nous est différent avec une essence unique. Chacun de nous apprécie les choses différentes. Les uns sont calmes, lents, indolents, tandis que d’autres sont nerveux, actives, toujours en mouvements. Il s’agit de trouver ce qui convient à chaque personne pour créer des conditions nécessaires au travail d’introspection et à la découvert du Soi. Un de mes formateurs nous a enseigné, un jour: « si tu n’arrives pas à méditer assis sans bouger, alors cours. » Eh oui, méditer, ce n’est pas être assis en lotus sans bouger pendant des heures #cliché (attention, si vous arrivez à le faire, c’est très bien, faites le ainsi!), mais c’est aussi en courant, en mettant en branle tout le corps si nécessaire. Alors donc on peut faire du yoga sur du death metal sans souci. Les hangpans, les flutes et les cloches tibétaines n’ont pas le monopole du yoga. 😉

Ensuite, concernant le côté obscure supposé du metal… Comment dire? Je remets mon #cliché !
Si on considère le côté « méchant » des gens de ce milieu, en fait non ils ne sont pas méchants, ils aiment les chats, du chocolat et certains apprécient même le mojito comme vous. Plus sérieusement, sur quels critères jugeons nous la méchanceté ou la bizarrerie de quelqu’un? Leur apparence? Leur manière de vivre pas comme nous? Leur musique que nous n’aimons pas? Voilà, à ce stade, vous voyez ce qui cloche? C’est ridicule, non?

Si on considère la musique bruyante, en fait, cela dépend de ce que vous considérez comme bruits et de ce que vous connaissez de ce vaste courant de musique. Car le metal ne se résume pas uniquement au heavy ou au death metal que la plupart de ceux qui n’écoutent pas cette musique ne supporte pas. Il y a des centaines d’autres courants et sous courants composés de musiques très mélodieuses et douces. Certaines d’entre elles ont même une influence très ritualiste venant des chants sacrés de différents horizons.

Si on considère les paroles violents, elles ne le sont pas toutes, bien au contraire. Combien d’entre vous ont pris la peine de lire les paroles des chansons? (ouais OK, pour pas mal de groupes, on ne comprend pas tout quand ils hurlent. 😅) Il y a de belles paroles parlant de la nature, du courage, de la spiritualité et qui racontent des histoires aussi. 🙂
« Ouais, mais quand même, certaines paroles sont sombres quoi, ils traitent des sujets sombres blablablabla ». Oui, en effet! Beaucoup de chanson traitent des sujets sombres tels que le mal être, le suicide, dénonce les dérives de la société etc. Mais rappelons nous les fondamentaux du yoga: Sathya (la vérité), samtosha (le contentement), sadhyaya (l’étude de soi). Ces paroles sont souvent composées suite aux expériences vécues, un travail d’introspection et créatif, ce qui implique une sincérité et une acceptation de ce qui est, même la noirceur. On ne peut combattre notre noirceur, corriger nos erreurs sans les reconnaître et sans accepter leur existence au préalable!

Reconnaître donc l’obscurité afin de faire jaillir la lumière! C’est cela que je souhaite faire avec mon yoga.

Voilà, c’est très synthétique et comporte beaucoup de raccourcis plutôt facile, j’espère juste que cela vous éclaire un tout petit peu sur ce qui est le metal et vous aide à mieux comprendre ma démarche. (#spoiler je fais du yoga avec d’autres musiques ou sans musique aussi hein. L’un n’empêche pas l’autre) 🙂

Namasté!

Le yoga et la persévérance

Bonjour,
Comment allez-vous? J’espère que tout se passe bien pour vous en ce beau début d’été. Je vous partage ici une ancienne expérience sur la pratique et la persévérance.
L’essence du yoga, c’est la connaissance de soi. On apprendre à se connaître et le tout premier degré de cette connaissance de soi, c’est la connaissance de son corps et de ses capacités. Ensuite, la connaissance de son mental puisque c’est ce mental qui vous permet de vous accrocher et de vous entraîner encore et encore. 🙂
Depuis cette expérience, j’ai encore évolué, j’arrive à exécuter cette posture facilement, et j’arrive à pratiquer sirsasana, grâce aussi, aux conseils de ma collègue Amandine chez Yoga Nandi. 😉 Le yoga, c’est de la persévérance, de la patience et aussi un partage.

« Aujourd’hui, je souhaite partager avec vous une petite expérience personnelle, une petite « victoire » dans ma pratique de yoga. En fait, les postures d’inversion ont toujours été un challenge pour moi. Prenons l’exemple de la posture du corbeau, kakasana, il m’a fallu presque un an de pratique hebdomadaire pour maîtriser parfaitement cette posture. Et ça a été une grande joie, la première fois que j’ai réussi à l’exécuter. J’ai presque sauté de joie avec mes… bras! 😃
Alors, depuis cet automne, je me suis entraînée au sirsasana, la posture inversée sur la tête. Alors, pour cela, j’ai commencé en aidant ma tête et mes épaules avec la force de mes avant-bras, cela m’aide aussi à avancer petit à petit puisque la position de mes bras me permet de donner un degré facile à mes jambes. Je m’explique, au lieu de poser les avant-bras par terre des deux côtés de la tête, je pose mes mains sous la poitrine et forme un angle de 90° avec mes bras et mes avant-bras afin de pouvoir poser mes genoux sur l’arrière de l’avant-bras.
Alors, inutile de dire que pendant les premières tentatives, aucun de mes genoux n’a voulu venir se poser sur l’arrière de mes bras puisque mes fesses les attirent toujours de l’autre côté (ouais, le pouvoir magique des fesses qui ont toujours l’air de peser trois tonnes et demi pendant ces moments-là !). Mais le mois après, j’ai pu mettre un genoux sur le bras et me tenir sur la pointe de l’autre pied. Puis quelques mois plus tard, j’ai pu mettre mes deux genoux sur l’arrière de mes bras sans que mes fesses exercent leur super pouvoir de traction ! Vers la fin de l’année dernière, j’ai commencé à déployer la jambe gauche complètement ! Mais je n’y arrivais pas à droite. J’ai toujours eu du mal à le faire du côté droit, je pense que mon côté droit est plus solide, donc il maintient mieux quand ma jambe gauche est tendue en l’air; ou tout simplement parce que je suis droitière et j’ai tendance à prendre plus de charge du côté droit que du côté gauche, donc quand ma jambe droite est tendue en l’air, psychologiquement, je me dis que mon côté gauche ne tiendra pas car il n’a pas l’habitude de prendre beaucoup de charge, et donc en effet, je ne tiens pas pour la droite!

Mais! Hé hé oui, et c’est là que j’ai commencé à crier victoire! Parce que cette semaine, lors de mon entrainement du lundi, j’ai réussi à tendre ma jambe droite en l’air sans tomber et j’ai tenu la position plus d’une seconde!!! Là, c’est une sacré petite victoire pour moi puisque je galère depuis l’automne et cela veut dire que j’ai enfin acquis la confiance et la force nécessaire pour. Me voilà hyper contente et prête à poursuivre l’entrainement afin de faire la posture dans sa version complète, avec les deux jambes tendues en l’air, et enfin poser mes avant-bras sur le sol! 😊

Ce cri de petit victoire, c’est aussi une occasion pour moi de vous parler de « l’effet secondaire » que vous apporte le yoga: la persévérance, la patience et la ténacité! Bien sûr que je fais de l’abus volontaire du langage parce que techniquement, la plupart des pratiques sportives vous entraîne pour acquérir des XP dans ces vertus, mais comme on parle du yoga, je parle de ce que je connais. 😉 Depuis mes débuts, le nombre de fois où je trouve une posture surhumaine, difficile, irréalisable, les moments où j’échoue à réaliser mes postures désirées, et les fois où, malgré tous les efforts, j’ai l’impression de ne pas avancer du tout, sont incalculables. Mais le sentiment de satisfaction face à un accomplissement durement mérité en vaut largement la peine et justifie grandement l’effort et de nombreux d’heures de pratique. Cela donne la force pour aller de l’avance, pour continuer à s’entraîner, à être régulière, à s’examiner, à se corriger car on sait qu’au bout, on sera toujours récompensé puisqu’on fait du progrès à chaque entraînement, chaque fois qu’on corrige une erreur, qu’on aperçoit qu’on a gagné en force. Tout ça, c’est aussi la récompense de nos efforts, sans parler de l’accomplissement ultime d’exécuter une posture parfaitement. 😊

Alors, du courage, mes pipistrelles et ne baissez jamais les bras. Enfin, si, quand vous faites un namaste, c’est plus sympa. 😃« 

Namaste!